Épilepsie, démence, psychose, accident vasculaire cérébral, traumatisme crânien ou encore somnolence excessive : de nombreuses affections neurologiques peuvent avoir un impact majeur sur la conduite. Pourtant, certains patients ne réalisent pas l’altération de leurs capacités au volant, mettant ainsi en danger leur propre sécurité, et celle des autres usagers de la route. Face à cet enjeu, le rôle des professionnels de santé est essentiel en matière de prévention. Que dit la réglementation à ce sujet ?
Actualités
Affections neurologiques et conduite : cadre réglementaire et rôle des soignants
